La 21e édition du Salon du livre francophone de Beyrouth, qui se tient du 31 octobre au 9 novembre dans la capitale libanaise, accueille une centaine d’écrivains (programme à télécharger ci-contre) et, pour la première fois, un “Village des arts”, semblable à celui du Salon du livre de Paris.
A l’initiative de la présidente du groupe Art et Beaux Livres du Syndicat national de l’édition Pascale Le Thorel, et à l’invitation de l’Institut français, un stand sera dédié à la production éditoriale de dix-sept éditeurs spécialisés français et accueillera des conférences, signatures, ateliers pour enfants ainsi qu’une exposition d’artistes libanais. Une presse lithographique permettra à tous de s’initier à la gravure en réalisant des lithographies sur pierre en direct.
Salon grand public créé il y a 22 ans par l’ambassade de France pour rendre hommage aux libraires qui ont continué à diffuser, durant la guerre civile, la production des maisons d’édition françaises, cette manifestation est toujours organisée par l’Institut français de Beyrouth et le syndicat des importateurs de livres en liaison avec les libraires.
Pour cette 21e édition, elle a pour thème “Des mots, des histoires”. “Les histoires des journaux, des romans, des bandes dessinées ; les mots, ceux qui écrivent l’Histoire et construisent la mémoire ; les histoires, celles qu’on lit aux enfants, celles que lisent les enfants”, précise le communiqué.
Plusieurs plumes de renom feront le déplacement comme Éric Reinhardt, Charles Dantzig, Percy Kemp, Marc Lambron qui débattra avec le comédien Philippe Torreton, Emile Bravo, Venus Khoury-Ghata ou Sofia Amara qui vient de publier Infiltrée dans l’enfer syrien chez Stock, un sujet particulièrement sensible dans la région.
Pour la troisième année consécutive, le Prix littéraire francophone régional “Liste Goncourt / Le Choix de l’Orient” sera décerné le 2 novembre, en présence de Didier Decoin, membre de l’académie Goncourt, et de Sorj Chalandon, lauréat 2013 pour Le quatrième mur (Grasset), qui se verra remettre par Dar Al Farabi l’édition en langue arabe de son livre.
A l’initiative de la présidente du groupe Art et Beaux Livres du Syndicat national de l’édition Pascale Le Thorel, et à l’invitation de l’Institut français, un stand sera dédié à la production éditoriale de dix-sept éditeurs spécialisés français et accueillera des conférences, signatures, ateliers pour enfants ainsi qu’une exposition d’artistes libanais. Une presse lithographique permettra à tous de s’initier à la gravure en réalisant des lithographies sur pierre en direct.
Salon grand public créé il y a 22 ans par l’ambassade de France pour rendre hommage aux libraires qui ont continué à diffuser, durant la guerre civile, la production des maisons d’édition françaises, cette manifestation est toujours organisée par l’Institut français de Beyrouth et le syndicat des importateurs de livres en liaison avec les libraires.
Pour cette 21e édition, elle a pour thème “Des mots, des histoires”. “Les histoires des journaux, des romans, des bandes dessinées ; les mots, ceux qui écrivent l’Histoire et construisent la mémoire ; les histoires, celles qu’on lit aux enfants, celles que lisent les enfants”, précise le communiqué.
Plusieurs plumes de renom feront le déplacement comme Éric Reinhardt, Charles Dantzig, Percy Kemp, Marc Lambron qui débattra avec le comédien Philippe Torreton, Emile Bravo, Venus Khoury-Ghata ou Sofia Amara qui vient de publier Infiltrée dans l’enfer syrien chez Stock, un sujet particulièrement sensible dans la région.
Pour la troisième année consécutive, le Prix littéraire francophone régional “Liste Goncourt / Le Choix de l’Orient” sera décerné le 2 novembre, en présence de Didier Decoin, membre de l’académie Goncourt, et de Sorj Chalandon, lauréat 2013 pour Le quatrième mur (Grasset), qui se verra remettre par Dar Al Farabi l’édition en langue arabe de son livre.
