- Genove : Villes épuisées, Benoît Vincent (Nouvel Attila/Othello, 12 mai)
Benoît Vincent fait le récit de sa relation intime avec Gênes
« aux visages multiples » et une personne qui y habite. A l’instar de
Marelle de Cortázar l’auteur propose au lecteur
« un autre chemin » avec un ordre des chapitres alternatif. Une cartographie singulière qui n’a de boussole que le sens poétique. (
Avant-critique parue le 12 mai)
- Fief, David Lopez (Seuil, 17 août)
David Lopez imagine les tribulations sans aventure d’une bande de jeunes, entre joints, jeu de cartes et boxe. Un premier roman truculent sur « la glande » en France périphérique qui ne manque pas de sel. Ma révélation de la rentrée littéraire 2017. (
Avant-critique parue le 2 juin)
- Sciences de la vie, Joy Sorman (Seuil, 17 août)
Joy Sorman imagine une jeune héroïne frappée d’une malédiction héréditaire dans un roman d’apprentissage jubilatoire, hymne à la vie même. C’est une transe générationnelle envoûtante. Son meilleur livre à ce jour. (
Avant-critique parue le 23 juin)
- Ecrit dans le noir : Essais sur la littérature, Michel Schneider (Buchet Chastel, 21 septembre)
Que dit l’écriture de l’écrivain ? Et qu’écrit-il lorsqu’il écrit ? L’écrivain et psychanalyste Michel Schneider tente de répondre dans un florilège d’essais sur Flaubert, Kafka, Proust ou Colette, avec une élégante acuité. (
Avant-critique parue le 1er septembre)
- La conquête des îles de la terre ferme, Alexis Jenni (Gallimard, 5 octobre)
Alexis Jenni nous entraîne sur les pas de Hernán Cortés à la conquête du Mexique. Un roman de cape et d’épée, haletant et au verbe luxuriant. L’auteur de L’art français de la guerre signe un magistral rêve d’or des conquistadores. (
Avant-critique parue le 15 septembre)