Ces rencontres permettront de faire le point sur le développement des archives ouvertes de la science, dont la Commission européenne a fait l’un de ses axes forts, en France mais aussi dans plusieurs pays européens tels que l’Allemagne et les Pays-Bas.
Lundi, l’intervention d'Alain Beretz, directeur général de la recherche et de l'innovation au ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche et de l'innovation, devrait clarifier la position de l’actuel gouvernement, cinq ans après le discours, lors des 5es journées Couperin, en janvier 2013, de Geneviève Fioraso, alors en charge de ce ministère. Cette dernière s’était à l’époque prononcée clairement en faveur du développement des archives ouvertes en France.
Au cours de la deuxième journée seront présentées plusieurs expériences menées dans différentes communautés de recherche, notamment en physique et en biologie, pour rendre les résultats scientifiques plus accessibles.
La dernière session, mercredi 24 janvier, sera consacrée à l’évolution du système d’évaluation des chercheurs qui pourrait intégrer dans ses critères l’ouverture des publications et des données de ces derniers afin de les inciter à contribuer aux archives ouvertes.