L’objectif de cette déclaration est de “garantir le droit des auteurs et préserver ceux des lecteurs”, en favorisant “l’émergence de positions communes pour la défense du droit d’auteur, un taux de TVA réduit sur les livres imprimés et numériques et le libre choix du lecteur, soit l’interopérabilité permettant de lire n’importe quel ouvrage sur l’appareil de son choix”.
Douze organismes se sont déjà engagés, mais la liste devrait s’allonger dans les prochains jours : Service général des lettres et du livre du ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Belgique), Département culture du ministère de l’Education et de la Culture (Chypre), Direction littérature, édition et librairies du ministère de la Culture (Croatie), Centre national du livre (France), Fondation pour la culture hellénique (Grèce), Centre national du livre et de la lecture (Italie), Centre de la littérature lettone (Lettonie), Institut polonais du livre (Pologne), Direction générale du livre, des archives et des bibliothèques au Secrétariat d’Etat à la culture (Portugal), Centre national du livre (Roumanie), Agence slovène du livre (Slovénie), Centre d’information littéraire (Slovaquie).