Italie barbare
Quai Voltaire
En 1925, dans un contexte de déchirement intellectuel entre les partisans du fascisme et leurs adversaires, C. Malaparte, dans ce texte, prend parti pour Mussolini, avant de découvrir les limites de la révolution sociale. Il balaie de son regard ironique l'histoire de l'Italie et de son patrimoine culturel, invoquant Michel-Ange et Dante, Machiavel et Manzoni, pour rendre gloire à son pays.