J'ai tué Schéhérazade : confessions d'une femme arabe en colère
Sindbad
Mêlant témoignage personnel, méditation, poèmes et cris, la poétesse libanaise, secrétaire générale du Booker Prize arabe et responsable des pages culturelles du quotidien«al-Nahar»et du magazine érotique«Jasad»offre une illustration du nouveau féminisme arabe. Tuer Shéhérazade, c'est à la fois vivre et penser en femme libre.