« Est-ce que l’agent.e fait le bonheur ? ». C’est la question posée par Les Inrockuptibles dans une enquête sur les agents littéraires en France. Dépeints comme les nouveaux maillons entre auteur et éditeur, ces derniers séduiraient une nouvelle génération de plumes « en quête de nouvelles pratiques dans un paysage éditorial en redéfinition ». Publié dans le numéro de février du média, l’article sera disponible en kiosque à partir de mercredi 24 janvier.

Longtemps réservé à l’édition anglo-saxonne ou aux auteurs les plus influents, le recours aux agents littéraires a gagné du terrain dans l’Hexagone. Et pour cause, ils dénichent les talents, biberonnent les écrivains, négocient les contrats avec les maisons d’édition, et sont sollicités pour exploiter la vente des droits étrangers, indique Les Inrockuptibles. De quoi effrayer les éditeurs ? Pas tout à fait. Car si certains continuent de bouder les agents littéraires, d’autres semblent y voir un moyen de filtrer l’insoutenable cadence éditoriale. Voire de dessiner les contours d’un nouveau paysage littéraire.