J’ai dû rêver trop fort, dont le titre est emprunté à une chanson de Bashung, a été tiré à 230000 exemplaires. Le livre a pour héroïne Nathy, qui revit en 2019 de manière irrationnelle une aventure passionnelle avec un musicien qui a failli briser son couple vingt ans plus tôt. Secouée par des coïncidentes mystérieuses, elle oscille entre passé et présent, en quatre escales, de Montréal à Jakarta, en passant par San Diego et Barcelone. Une chanson, Que restera-t-il de nous ?, écrite par Michel Bussi, figure dans le roman : elle a été mise en musique et interprétée par Gauvain Sers (Pourvu, disque de platine), et figurera sur son deuxième album qui sort le 29 mars chez Mercury Music Group.
De son côté, Sang famille met en scène Colin Rémy, un adolescent orphelin qui vit sur l’île anglo-normande de Mornesey. En août 2000, deux prisonniers s’évadent lors d’un transfert vers le centre de détention et Colin croit reconnaître son père.
En quelques années, Michel Bussi s’est imposé comme un des auteurs français de polars les plus lus: ses dix livres totalisent 8 millions de ventes et ont été traduits en 34 langues (Un avion sans elle atteint 100000 exemplaires vendus en Chine). Il est aussi adapté en BD (Nymphéas noirs est sorti en janvier chez Dupuis) et en série télévisée: Un avion sans elle sera diffusé au printemps sur M6 et Le temps est assassin à l’automne sur TF1.