L’éditeur, qui a réalisé un peu moins d’un million d’euros de chiffre d’affaires en 2020 et employait trois personnes, conservera son identité au sein de Dunod et sera présidé par François Bachelot, directeur général de Dunod. Actuellement installé rue Pasquier, dans le 8e arrondissement de Paris, il devrait à terme s’installer dans les locaux d’Hachette Livre, à Malakoff. Si Stéphane Derville a quitté Maxima avant le rachat, les collaboratrices Laurence Bucher et Agnès Grenon continueront d’accompagner le développement de la marque. Un recrutement est actuellement en cours pour un poste d’éditeur chargé de piloter les fonds.
« Maxima est très complémentaire de Dunod, avec, en particulier, un catalogue remarqué en patrimoine et finances personnelles porté par des long-sellers comme les titres d’Olivier Seban, explique à Livres Hebdo François Bachelot. Il y aura sans doute quelques arbitrages en termes de marques. Certains livres d’entreprise auront plutôt vocation à paraître chez Dunod, mais les titres consacrés à l’enrichissement personnel qui assurent la notoriété de Maxima continueront de paraître sous cette marque. »
Fortes d’un catalogue de plus de 300 titres, les éditions Maxima publient une trentaine de titres par an. Elles comptent à leur catalogue plusieurs long-sellers comme Tout le monde mérite d’être riche d’Olivier Seban ou Le guide complet du trading avec Ichimoku de Karen Peloille.