Photo OLIVIER DION

Passé de la résille métallique de l'immeuble des Bons enfants, occupé par le ministère de la Culture, au très classique hôtel de Massa, habité par la Société des gens de lettres dont il dirige les services, Geoffroy Pelletier veille depuis mai 2010 aux intérêts de sociétaires-écrivains que d'autres rassemblements d'auteurs souhaiteraient un peu plus mauvais garçons dans la défense de leurs droits face aux bouleversements numériques. Mais les relations avec les diverses institutions du livre et les parlementaires, qu'il faut nourrir d'amendements aux multiples lois et traités numériques (le prix du livre, l'exploitation des indisponibles, ou l'évolution du contrat d'édition), supposent une ténacité et une égalité d'humeur qui n'en font pas pour autant un enfant de choeur.

04.02 2015

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