Sans donner de précisions sur les évolutions de ses principaux univers (culturels et techniques), la société cotée en bourse annonce toutefois avoir réalisé avec ses nouvelles familles de produits 8% de son chiffre d’affaires.
Plus diserte sur la répartition géographique de son activité, elle salue « la croissance » de ses ventes dans la péninsule ibérique et au Brésil (respectivement 0,6% et 0,9% à taux de change constants) et « le repli limité » de son activité en France. A 585 millions d’euros, le chiffre d’affaires réalisé en France affiche une baisse de 0,7% à nombre de magasins constants. En tenant compte de la fermeture des points de vente d’Aubervilliers et d’Odéon ainsi que de l’intégration de la société Datasport, la baisse passe toutefois à 1,4%.
Sur les marchés français et ibériques, restés difficiles début 2014, la Fnac annonce des gains de parts de marché.
En revanche dans la zone baptisée "autres pays" qui regroupe notamment la Suisse et la Belgique, elle accuse des contreperformances avec une baisse de 7% de son chiffre d’affaires.
Pour l'avenir, le groupe annonce la poursuite de la "dynamique de transformation" de son modèle commercial et de sa politique d'économies de coûts.