Le mangeur de livres, le premier roman de Stéphane Malandrin à paraitre au Seuil le 3 janvier, narre les tribulations rocambolesques et philosophiques d’un jeune juif converti au catholicisme dans le Lisbonne du XVe siècle. Orphelin, le jeune Adar est recueilli par une certaine Rosa da Silva et se lie d’une intense amitié avec son fils, Faustino.
Détenu avec son nouvel ami par le père Cristovao après s’être fait coincer pour une incartade, Adar découvre un livre pour la première fois, qu’il se met instantanément à dévorer - littéralement. "
S'ensuivront un nombre d'aventures aussi rocambolesques qu'incroyables, jusqu'à une chute en forme de rédemption," écrivait Jean-Claude Perrier
dans l'avant-critique parue le 9 novembre dans Livres Hebdo, qui évoque ici un "
premier roman atypique, conte philosophique rabelaisien où tout repose sur le style".
Né le 12 novembre 1969, Stéphane Malandrin cumule les casquettes d’écrivain jeunesse, de scénariste et de réalisateur. Il a notamment tourné et écrit avec son frère Guillaume les long-métrages
Où est la main de l’homme sans-tête (2009), inspiré du
Vertigo d’Alfred Hitchcock ainsi que
Je suis mort mais j’ai des amis (2015), nommé au César du meilleur film étranger.