Les premières sélections du prix du meilleur livre étranger 2024 ont été révélées pour les deux catégories roman et non-fiction. Une deuxième sélection aura lieu le 23 octobre puis la proclamation des lauréats le 4 novembre.
Les lauréats succèderont à l’écrivain irlandais Sebastian Barry pour Au bon vieux temps de Dieu (Joëlle Losfeld), traduit de l’anglais par Laëtitia Devaux, et le journaliste flamand Chris De Stoop pour Le Livre de Daniel (Globe), traduit du néerlandais par Anne-Laure Vignaux.
Les premières sélections du prix du meilleur livre étranger 2024
Roman
- Amours manquées, de Susie Boyt, traduit de l’anglais par Stéphane Vanderhaeghe (La croisée)
- La Famille Ruck, de Katja Schönherr, traduit de l’allemand par Barbara Fontaine (Zoe)
- La morelle noire, de Teresa Moure, traduit de l’espagnol par Marielle Leroy (La Contre Allée)
- Absolution, d’Alice McDermott, traduit de l’anglais par Cécile Arnaud (La Table Ronde)
- L’heure bleue, de Peter Stamm, traduit de l’allemand par Pierre Deshusses (Christian Bourgois)
- Maniac, de Benjamin Labatut, traduit de l’anglais par David Fauquemberg (Grasset)
- Mes amis, d’Hisham Matar, traduit de l’anglais par David Fauquemberg (Gallimard)
- Si peu, de Marco Lodoli, traduit de l’italien par Louise Boudonnat (P.O.L)
- Théodoros, de Mircea Cartarescu, traduit du roumain par Laure Hinckel (Noir sur Blanc)
Non-fiction
- A la recherche du vivant, de Lida Turpeinen, traduit du finnois par Sébastien Cagnoli (Autrement)
- Du flâneur au vagabond – un essai littéraire sur la marche, d’Edgardo Scott, traduit de l’espagnol par Magali Sequera (Riveneuve)
- L’invisible Madame Orwell, d’Anna Funder, traduit de l’anglais par Carine Chichereau (Héloïse d’Ormesson)
- La petite sœur, de Mariana Enriquez, traduit de l’espagnol par Anne Plantagenet (Sous-Sol)
- Question 7, de Richard Flanagan, traduit de l’anglais par Serge Chauvin (Actes Sud)