Nina Leger, lauréate du Prix Anaïs Nin 2017
Mise en pièce, paru chez Gallimard, a reçu, le 27 février, les faveurs du jury au quatrième tour du scrutin.
Récompense
Nina Leger a été distinguée pour son roman Mise en pièce (Gallimard) par le jury du prix Anaïs Nin au terme du quatrième tour de scrutin. Doté de 3 000 euros et d'une traduction en anglais, le prix lui est remis, le 27 février, au Victoria 1836, Paris 16e.
Une voix et une sensibilité singulières
Née en 1988 à Antibes, Nina Leger est doctorante en esthétique à l’Université Paris-VIII, a collaboré à plusieurs expositions, travaillé en bibliothèque et publié dans des revues comme Ligeia ou Specimen. Dans Mise en pièce, sorti dans la collection "Blanche" de Gallimard le 12 janvier 2017, l’auteure nous entraîne dans l’errance sexuelle de Jeanne, dont on ne sait rien, ou presque, mis à part qu’elle est hantée par le sexe des hommes et qu’elle collectionne les souvenirs de ses rencontres furtives.
Créé en 2015 par Nelly Alard et Capucine Motte en hommage à Anaïs Nin, le prix Anaïs Nin "récompense une œuvre qui se distingue par une voix et une sensibilité singulières, l'originalité de son imaginaire et une audace face à l'ordre moral". Il se veut orienté vers le monde anglo-saxon et est destiné à faire connaître le livre élu aux éditeurs anglais et américains.
L’année dernière, Emmanuelle Richard avait emporté le Prix avec Pour la peau (L'Olivier).
Une voix et une sensibilité singulières
Née en 1988 à Antibes, Nina Leger est doctorante en esthétique à l’Université Paris-VIII, a collaboré à plusieurs expositions, travaillé en bibliothèque et publié dans des revues comme Ligeia ou Specimen. Dans Mise en pièce, sorti dans la collection "Blanche" de Gallimard le 12 janvier 2017, l’auteure nous entraîne dans l’errance sexuelle de Jeanne, dont on ne sait rien, ou presque, mis à part qu’elle est hantée par le sexe des hommes et qu’elle collectionne les souvenirs de ses rencontres furtives.
Créé en 2015 par Nelly Alard et Capucine Motte en hommage à Anaïs Nin, le prix Anaïs Nin "récompense une œuvre qui se distingue par une voix et une sensibilité singulières, l'originalité de son imaginaire et une audace face à l'ordre moral". Il se veut orienté vers le monde anglo-saxon et est destiné à faire connaître le livre élu aux éditeurs anglais et américains.
L’année dernière, Emmanuelle Richard avait emporté le Prix avec Pour la peau (L'Olivier).
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