Le Louvre consacre au célèbre peintre néerlandais une importante exposition, "Vermeer et les maîtres de la peinture du genre", plus de quinze ans après la dernière rétrospective Vermeer, organisée en 2001 à la National Gallery de Londres. Elle ouvrira le 22 février, escortée de nombreux livres, et se tiendra jusqu’au 22 mai.
Taschen ouvre le bal le 19 janvier avec la réédition en poche dans la collection "Basic art" du Vermeer de Norbert Schneider, suivi le 2 février par un autre Vermeer chez Place des Victoires. Dans Vermeer et les maîtres hollandais (Larousse, 7 février), Johann Protais et Eloi Rousseau livrent une synthèse de la vie et de l’œuvre de l’artiste. Le lendemain, Fayard propose un essai, Vermeer, l’incarnation de la lumière, signé des philosophes Jacques Darriulat et Raphaël Enthoven, tandis que le Chêne enrichit sa collection "L’art cache-cache" d’un ouvrage dédié au peintre de La jeune fille à la perle. Pour faire découvrir son univers aux enfants à partir de 8 ans, la revue d’art jeunesse Dada, éditée par Arola, lui consacre son n° 216 le 9 février. Hazan met en vente le 15 février une nouvelle édition de la riche monographie Vermeer de Gilles Aillaud, John Michael Montias et Albert Blankert. L’éditeur d’art lancera aussi le 1er mars une autre monographie, inédite celle-ci, Vermeer par le détail par Gary Schwartz.
Le catalogue de l’exposition, Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Siècle d’or, sous la direction d’un de ses commissaires, Blaise Ducos, paraîtra chez Somogy le 22 février, comme l’essai consacré au peintre, Vermeer (1632-1675), par Serge Kernbaum. Ce même jour, Beaux-Arts éditions publie un album dédié à la rétrospective, et Invenit se penche spécifiquement sur le tableau Une jeune fille assoupie dans Vermeer, entre deux songes de Gaëlle Josse. P. L.
