Les derniers jours
Gallimard
J. Clair évoque ce qui a forgé sa personnalité, ce qui le hante et le révulse. Il revient sur son enfance rurale en Mayenne, qui contraste avec son adolescence dans le Pantin de l'après-guerre. Il aborde l'art, les manières de l'époque ainsi que le cauchemar de la transparence généralisée et l'horreur de l'immortalité de l'existence, dans lesquelles il voit les signes de la fin d'une civilisation.