Société

Le succès viral du blog et de la bande dessinée d’Emma Fallait demander (Florent Massot, 2017) a mis en lumière le concept de charge mentale qui pèse plus particulièrement sur les femmes. Cette médiatisation a donné naissance à un phénomène éditorial. Après Allégez votre charge mentale d’Aude Chabrier (Marabout, 24 janvier), La charge mentale des femmes… et celle des hommes d’Aurélia Schneider (Larousse, 7 février) ou encore l’explicite Petit carnet à l’usage des hommes qui ont une toute petite charge mentale de Claire Delaporte (Contre-Dires, 13 mars), Leduc.s propose dans sa collection de poche Je dis non à la charge mentale ! par Alix Lefief-Delcourt, à paraître le 17 avril.

Chez Québec-Livres, Caroline Lalande propose Pour se libérer de la charge mentale (19 avril), jeu d’inspiration de 44 cartes, accompagné d’un livret d’interprétation. Chez First, on se plongera dans le Cahier coach : la charge mentale pour les nuls de Marion McGuinness (26 avril). De son côté, Stock publie le 2 mai un roman de la journaliste Caroline Boudet, Juste un peu de temps, dans lequel une mère de famille enviée de tous, à la vie (semble-t-il) parfaite - travail intéressant, beaux enfants, mari formidable -, craque et disparaît du jour au lendemain.

Enfin, le 24 mai, Laurence Bourgeois livre chez Eyrolles Comment se libérer de la charge mentale ou Une semaine pour se guérir du syndrome de Rosita, dans lequel elle propose, à travers un personnage féminin fictif, de reprendre sa vie en main grâce à de multiples conseils. Pauline Leduc

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