Le rachat des Editions La Courte échelle par l'ancien librairie Raymond Talbot, et sa fille Marie-Eve, est confirmé. Le journal québécois Le Devoir avait annoncé le 25 novembre dernier que le fondateur des librairies Champigny avait fait une offre. La revue québécoise Les Libraires affirme aujourd'hui que la maison est sauvée.
Marie-Eve Talbot, qui a longtemps dirigé l’organisme Lis avec moi en charge de la promotion de la littérature auprès des jeunes lecteurs, s'explique: "La courte échelle est un fleuron de la littérature jeunesse au Québec. Plusieurs lecteurs ont découvert leur passion pour la littérature en tenant pour la première fois un livre de cette célèbre maison d'édition, alors qu'ils étaient enfants. Son acquisition et sa relance sont pour nous le début d'une superbe aventure."
Et elle poursuit: "Pour nous, il était primordial de discuter avec les artisans de la courte échelle pour leur présenter notre vision quant à l'avenir de la maison d'édition. Nous leur avons notamment expliqué notre volonté de sauvegarder le fonds et maintenir la qualité littéraire qui a fait la réputation de la maison. La réponse enthousiaste des auteurs et des illustrateurs face à notre projet nous a confortés dans notre décision d'acquérir la courte échelle."
Editeur emblématique de l’essor de l’édition jeunesse québécoise dans les années 80 et 90, La courte échelle employait encore 17 salariés lorsqu'elle été placée en cessation d’activité le 23 septembre.
Marie-Eve Talbot, qui a longtemps dirigé l’organisme Lis avec moi en charge de la promotion de la littérature auprès des jeunes lecteurs, s'explique: "La courte échelle est un fleuron de la littérature jeunesse au Québec. Plusieurs lecteurs ont découvert leur passion pour la littérature en tenant pour la première fois un livre de cette célèbre maison d'édition, alors qu'ils étaient enfants. Son acquisition et sa relance sont pour nous le début d'une superbe aventure."
Et elle poursuit: "Pour nous, il était primordial de discuter avec les artisans de la courte échelle pour leur présenter notre vision quant à l'avenir de la maison d'édition. Nous leur avons notamment expliqué notre volonté de sauvegarder le fonds et maintenir la qualité littéraire qui a fait la réputation de la maison. La réponse enthousiaste des auteurs et des illustrateurs face à notre projet nous a confortés dans notre décision d'acquérir la courte échelle."
Editeur emblématique de l’essor de l’édition jeunesse québécoise dans les années 80 et 90, La courte échelle employait encore 17 salariés lorsqu'elle été placée en cessation d’activité le 23 septembre.
