A l’occasion de son assemblée générale, lundi 16 juin, le Syndicat de la librairie française (SLF) a élu comme nouveaux administrateurs Sylvie Giberay (Mollat, Bordeaux), Anne Giraudeau (Librairie générale, Arcachon), Lorant Hecquet (L’or des étoiles, Vézelay) et Olivier Rouard (Charlemagne, Toulon). « Il y avait plus de candidats que de postes », se félicite Matthieu de Montchalin, président du SLF et P-DG de L’Armitière, à Rouen, qui voit là « un témoignage de la vitalité du syndicat ».
Annonçant que les 3e rencontres nationales de la librairie auront lieu au mois de mai ou juin 2015, après celles qui se sont successivement tenues en 2011 à Lyon et 2013 à Bordeaux, il a salué la présence de la nouvelle médiatrice du livre, Laurence Engel, et évoqué les différents chantiers en cours, à commencer par l’observatoire de la librairie qui doit entrer en phase de test cet été et qui vise à améliorer les pratiques professionnelles et par la suite, la rentabilité des points de vente en leur permettant de se comparer et d’avoir une meilleure visibilité de leur activité.
Matthieu de Montchalin a également rappelé, auprès de l’interprofession, la nécessité d’améliorer les marges des librairies et de leur faciliter l’accès aux marchés publics, notamment par un relèvement des seuils déclenchant des procédures d’appels d’offres. Il a souligné l’imbrication de toutes ces actions destinées, in fine, à aider les librairies à consolider leur situation économique et atteindre la barre des 2 % de rentabilité.
Annonçant que les 3e rencontres nationales de la librairie auront lieu au mois de mai ou juin 2015, après celles qui se sont successivement tenues en 2011 à Lyon et 2013 à Bordeaux, il a salué la présence de la nouvelle médiatrice du livre, Laurence Engel, et évoqué les différents chantiers en cours, à commencer par l’observatoire de la librairie qui doit entrer en phase de test cet été et qui vise à améliorer les pratiques professionnelles et par la suite, la rentabilité des points de vente en leur permettant de se comparer et d’avoir une meilleure visibilité de leur activité.
Matthieu de Montchalin a également rappelé, auprès de l’interprofession, la nécessité d’améliorer les marges des librairies et de leur faciliter l’accès aux marchés publics, notamment par un relèvement des seuils déclenchant des procédures d’appels d’offres. Il a souligné l’imbrication de toutes ces actions destinées, in fine, à aider les librairies à consolider leur situation économique et atteindre la barre des 2 % de rentabilité.
