Grande salle de l’opéra ou du Théâtre des Célestins pour des rencontres prestigieuses avec Riad Sattouf ou Zep, journée professionnelle à l’Hôtel de Région, expositions et scènes de rencontres à l’Hôtel de ville, soirée d’inauguration dans un lieu respectueux de la distanciation (on parle H7, la halle de la french tech dans le quartier de la Confluence)… « Je sais qu’en maintenant cette édition, nous allons devoir être souples, et nous nous tenons prêt à adapter certains événements, admet Mathieu Diez. Mais je suis persuadé qu’on est capable d’inviter 50 auteurs et de les mettre en avant, et d’avoir une convivialité suffisante pour faire une belle édition. Toutefois, il faudra évidemment que les lieux de culture rouvrent, ainsi que les restaurants. » Les séances de dédicaces seront tout de même au menu, grâce à un partenariat avec quinze librairies lyonnaises, invitées à proposer des animations autour de ces temps de signature.
Parmi les autres nouveautés attendues pour cette édition adaptée, une conférence de Frank Pé et du paléontologue Jean-Sébastien Steyer autour du marsupilami au Musée des Confluences, l’édition (doublée d’un concert dessiné) d’une BD d’Alfred dont l’histoire se déroule dans le Théâtre des Célestins, un partenariat noué avec la Biennale de la danse avec des dessins créés sur place par Chloé Cruchaudet et Barly Baruti… Et pour éviter la frustration de visiteurs coincés par les jauges restreintes de ces multiples événements, Lyon BD est en train d’élaborer un système de prévente de billets avec réservation de créneaux.