Alice Chazerand a inauguré l'unique librairie généraliste de la commune d'Arbois, au sud de Besançon, qui compte 3500 habitants. Situé dans le Jura, Le Hamac a ouvert ses portes le 15 juillet.
Pouvez-vous me parler de votre parcours ?
Diplômé de Sciences Po Strasbourg, j’ai commencé ma carrière dans l’édition parascolaire chez Studyrama. J’ai ensuite travaillé en tant qu’orthophoniste pendant une dizaine d'années. Dans ce cadre-là, je faisais de la prévention des troubles du langage à travers le livre. Il y a deux ans, j’ai commencé un master en littérature jeunesse à l'université du Mans. C'est là que j’ai mûri l’idée d’ouvrir une librairie. Dans cette formation, j’ai découvert le métier de libraire : je ne me rendais pas compte de sa richesse. J’ai suivi une formation de Book conseil.
Pourquoi avoir ouvert une librairie ?
Il y a mon amour des livres, cela est certain, mais aussi le fait que, dans la petite ville où j’habite, il n’y avait plus du tout de livres. Moi ça me manquait énormément, et je pense que ça devait manquer à d’autres. Une maison de la presse a fermé il y a deux ans, il ne restait que le supermarché pour acheter des livres. C’est un défi d’ouvrir dans une petite commune, mais quelque part les gens sont à la recherche de proximité.
Quel est le concept de votre librairie ?
Une librairie généraliste de proximité qui compte 6000 références dans 100 m2, dont un petit coin café. Je n’ai pas tout, mais j'essaie de faire des petits rayons de chaque catégorie pour que le plus grand nombre trouve ce qu’il recherche. Cela va évoluer avec ce que me demandent les gens. Je prévois également d’organiser des activités : dédicace, lecture et atelier pour enfant.
Pouvez-vous me parler de votre parcours ?
Diplômé de Sciences Po Strasbourg, j’ai commencé ma carrière dans l’édition parascolaire chez Studyrama. J’ai ensuite travaillé en tant qu’orthophoniste pendant une dizaine d'années. Dans ce cadre-là, je faisais de la prévention des troubles du langage à travers le livre. Il y a deux ans, j’ai commencé un master en littérature jeunesse à l'université du Mans. C'est là que j’ai mûri l’idée d’ouvrir une librairie. Dans cette formation, j’ai découvert le métier de libraire : je ne me rendais pas compte de sa richesse. J’ai suivi une formation de Book conseil.
Pourquoi avoir ouvert une librairie ?
Il y a mon amour des livres, cela est certain, mais aussi le fait que, dans la petite ville où j’habite, il n’y avait plus du tout de livres. Moi ça me manquait énormément, et je pense que ça devait manquer à d’autres. Une maison de la presse a fermé il y a deux ans, il ne restait que le supermarché pour acheter des livres. C’est un défi d’ouvrir dans une petite commune, mais quelque part les gens sont à la recherche de proximité.
Quel est le concept de votre librairie ?
Une librairie généraliste de proximité qui compte 6000 références dans 100 m2, dont un petit coin café. Je n’ai pas tout, mais j'essaie de faire des petits rayons de chaque catégorie pour que le plus grand nombre trouve ce qu’il recherche. Cela va évoluer avec ce que me demandent les gens. Je prévois également d’organiser des activités : dédicace, lecture et atelier pour enfant.
