Quel bilan tirez-vous de "Partir en livre" ?
Je retiens avant tout une implantation territoriale très forte, avec un nombre d'événements référencés qui a quasiment doublé par rapport à l'an dernier et la participation de nombreux acteurs et animateurs locaux. C'est un rendez-vous qui est devenu une grande fête populaire, avec encore plus de partenariats qui nous ont soutenu et une importante couverture médiatique, à la fois nationale et régionale.
Quelles étaient les évolutions notables par rapport à "Lire en short" ?
Les quatre rendez-vous ados sont l'une des nouveautés de cette année. Il est trop tôt pour tirer des conclusions, nous ferons un bilan en septembre, mais ceux auxquels j'ai assisté, sur le manga et la romance, m'ont séduit. Je crois qu'il faut désormais mettre en place une communication spécifique à destination des ados. Le grand lancement national à Pantin, par rapport aux quatre événements simultanés de l'an dernier, a été une réussite. Je pense que nous allons garder ce rythme, du mercredi au dimanche.
La manifestation s'appellera-t-elle encore "Partir en livre" l'an prochain, y compris en cas de changement de ministre ?
Chaque changement amène des changements, c'est naturel. Il est encore trop tôt pour évoquer l'an prochain, mais en tant que président du CNL, j'ai la volonté que le nom "Partir en livre" soit reconduit, afin que la marque puisse s'implanter.