Malgré la polémique qui a entouré l’annonce de sa candidature à l’Académie française, l’auteur de L’identité malheureuse a été élu au 1er tour par 16 voix, devant Gérard de Cortanze (3 voix) et Athanase Vantchev de Thracy (1 voix).
Alain Finkielkraut a en revanche recueilli huit bulletins marqués d’une croix.
Ses adversaires avaient déjà réagi à l’annonce de la candidature du philosophe provoquant une levée de boucliers de ses partisans, parmi lesquels Pierre Nora, Max Gallo ou Hélène Carrère d'Encausse, secrétaire perpétuel, ou encore Jean d’Ormesson : « Si Alain Finkielkraut n'est pas élu jeudi, je ne mettrai plus les pieds à l'Académie », avait déclaré ce dernier au Figaro.
Pourfendeur du politiquement correct, critique de la modernité, Alain Finkielkraut est admiré par les uns, accusé d'être réactionnaire par les autres.
Paru l’an dernier chez Stock, son dernier livre sur l'identité nationale et l'immigration (L'identité malheureuse) avait suscité de vives polémiques.
Auteur d'ouvrages sur la fin de la culture, la littérature, l'amour, la modernité, l'éducation ou la religion d'abord publiés au Seuil, puis essentiellement chez Gallimard et Stock, Alain Finkielkraut s’est fait connaître avec Le nouveau désordre amoureux, qu’il signait avec Pascal Bruckner en 1977.
Il est également l’auteur de La Défaite de la pensée, Internet, l'inquiétante extase (2001), La querelle de l'école (2007), Un cœur intelligent (prix de l'essai 2010 de l'Académie française), suivi un an plus tard de Et si l'amour durait.
Né en 1949 à Paris, Alain Finkielkraut est normalien, agrégé de lettres et professeur de philosophie, notamment à l'Ecole polytechnique où il sera remplacé par Michaël Foessel à la rentrée 2014. Il anime également chaque samedi l'émission « Répliques », sur France Culture, et collabore régulièrement au magazine Causeur.
Alain Finkielkraut est élu au siège de Félicien Marceau après une élection blanche le 14 novembre, faute de majorité, et une seconde reportée.
Alexis Antois, Yves-Denis Delaporte, Robert Spitzhacke étaient également en lice pour le fauteuil.
Alain Finkielkraut a en revanche recueilli huit bulletins marqués d’une croix.
Ses adversaires avaient déjà réagi à l’annonce de la candidature du philosophe provoquant une levée de boucliers de ses partisans, parmi lesquels Pierre Nora, Max Gallo ou Hélène Carrère d'Encausse, secrétaire perpétuel, ou encore Jean d’Ormesson : « Si Alain Finkielkraut n'est pas élu jeudi, je ne mettrai plus les pieds à l'Académie », avait déclaré ce dernier au Figaro.
Pourfendeur du politiquement correct, critique de la modernité, Alain Finkielkraut est admiré par les uns, accusé d'être réactionnaire par les autres.
Paru l’an dernier chez Stock, son dernier livre sur l'identité nationale et l'immigration (L'identité malheureuse) avait suscité de vives polémiques.
Auteur d'ouvrages sur la fin de la culture, la littérature, l'amour, la modernité, l'éducation ou la religion d'abord publiés au Seuil, puis essentiellement chez Gallimard et Stock, Alain Finkielkraut s’est fait connaître avec Le nouveau désordre amoureux, qu’il signait avec Pascal Bruckner en 1977.
Il est également l’auteur de La Défaite de la pensée, Internet, l'inquiétante extase (2001), La querelle de l'école (2007), Un cœur intelligent (prix de l'essai 2010 de l'Académie française), suivi un an plus tard de Et si l'amour durait.
Né en 1949 à Paris, Alain Finkielkraut est normalien, agrégé de lettres et professeur de philosophie, notamment à l'Ecole polytechnique où il sera remplacé par Michaël Foessel à la rentrée 2014. Il anime également chaque samedi l'émission « Répliques », sur France Culture, et collabore régulièrement au magazine Causeur.
Alain Finkielkraut est élu au siège de Félicien Marceau après une élection blanche le 14 novembre, faute de majorité, et une seconde reportée.
Alexis Antois, Yves-Denis Delaporte, Robert Spitzhacke étaient également en lice pour le fauteuil.
