L’exposition, mise au point par le critique d’art et photographe Alfred Weidinger, se compose d’un ensemble de 180 œuvres, photographies et documents rares qui témoignent de la vie et de la création des plus grands artistes du mouvement de la Sécession viennoise, au tournant du 20e siècle.
Le catalogue de l’exposition est paru le 1er février chez 24 ORE. Il relate le développement de l’art viennois de la fin du 19e siècle jusqu’aux premières années de l’expressionisme. Rachel Barnes revient également sur l’œuvre du peintre dans Gustav Klimt, un ouvrage relié sous étui paru le 27 novembre aux éditions Prisma.
Klimt et la Sécession sont également présents dans plusieurs autres recueils : Le baiser, à paraître le 19 mars chez Places des victoires, ou Un crayon à la main : dessins du XXe siècle, une compilation de la collection de la Fundación Mapfre de Madrid.
On retrouve aussi plusieurs peintres de l’école autrichienne dans Art et désenchantement : le cafard après la fête (XIXe – XXIe siècles), à paraître le 2 avril sous la direction de Valérie Dupont et de Bertrand Tillier, aux éditions universitaires de Dijon.
Rappelons enfin le numéro hors-série Klimt et Vienne : un siècle d’or et de couleurs, publié par Beaux-arts magazine le 26 mars 2014.