La société cotée en bourse a révélé, dans un communiqué de presse daté du 26 février, les principaux indicateurs économiques de son exercice clos au 31 décembre 2014. La Fnac y annonce un chiffre d’affaires de 3,895 milliards d’euros, en léger repli de 0,3% à données réelles et stable à périmètre et taux de change constants.
La part de la France s’élève à 2,77 milliards , soit +0,5% à données réelles et +1,3% à périmètre stable. En l’état, aucune information n’a été communiquée concernant la répartition par familles de produits. On rappellera juste qu'en 2013, le livre avait réalisé en France un chiffre d’affaires de 452 millions d’euros. Le parc a progressé dans l’Hexagone de 108 à 112 points de vente dont 27 franchisés avec, parmi ces derniers, la transformation de 2 espaces Culture et loisirs du groupe Intermarché.
Par ailleurs, l’enseigne explique que la croissance du secteur internet a été soutenue, portée notamment par les « ventes omnicanales » qui ont représenté plus de 35% des ventes internet en France (contre 29% en 2013).
Amélioration de la profitabilité
Au-delà des effets de sa politique commerciale offensive et du renouvellement de son offre, la Fnac annonce une amélioration de sa profitabilité avec notamment de nouvelles économies de coûts évaluées à 63 millions d’euros.
Son résultat opérationnel a ainsi bondi de 57% à 68 millions d’euros et in fine son résultat net consolidé est passé de 15 à 41 millions.
Selon le P-DG Alexandre Bompard, les résultats 2014 témoignent de l’accélération de la transformation de la Fnac et valident la stratégie de l’entreprise. Pour 2015, le dirigeant prévoit « un environnement de consommation qui devrait rester peu porteur » et se fixe à nouveau « un objectif d’économies de coûts de 30 à 40 millions d’euros ». Pour autant annonce-t-il « notre société est en mouvement, prête à saisir toutes les opportunités pour répondre aux attentes et besoins de nos clients. »
La part de la France s’élève à 2,77 milliards , soit +0,5% à données réelles et +1,3% à périmètre stable. En l’état, aucune information n’a été communiquée concernant la répartition par familles de produits. On rappellera juste qu'en 2013, le livre avait réalisé en France un chiffre d’affaires de 452 millions d’euros. Le parc a progressé dans l’Hexagone de 108 à 112 points de vente dont 27 franchisés avec, parmi ces derniers, la transformation de 2 espaces Culture et loisirs du groupe Intermarché.
Par ailleurs, l’enseigne explique que la croissance du secteur internet a été soutenue, portée notamment par les « ventes omnicanales » qui ont représenté plus de 35% des ventes internet en France (contre 29% en 2013).
Amélioration de la profitabilité
Au-delà des effets de sa politique commerciale offensive et du renouvellement de son offre, la Fnac annonce une amélioration de sa profitabilité avec notamment de nouvelles économies de coûts évaluées à 63 millions d’euros.
Son résultat opérationnel a ainsi bondi de 57% à 68 millions d’euros et in fine son résultat net consolidé est passé de 15 à 41 millions.
Selon le P-DG Alexandre Bompard, les résultats 2014 témoignent de l’accélération de la transformation de la Fnac et valident la stratégie de l’entreprise. Pour 2015, le dirigeant prévoit « un environnement de consommation qui devrait rester peu porteur » et se fixe à nouveau « un objectif d’économies de coûts de 30 à 40 millions d’euros ». Pour autant annonce-t-il « notre société est en mouvement, prête à saisir toutes les opportunités pour répondre aux attentes et besoins de nos clients. »
