Soixante-douze candidats avaient été retenus par la Bibliothèque nationale de France pour construire et cofinancer un pôle regroupant le conservatoire national de la presse et le centre de conservation de ses collections. Un an et demi après le lancement de l’appel, c’est finalement Amiens qui a été retenu.
Le terrain devait permettre d’accueillir un bâtiment d’au moins 15000m2, avec dans l'idéal une réserve foncière supplémentaire, et être situé à 3 heures de Paris en voiture ou à 2 heures de transports depuis une gare parisienne. Le candidat devait également assurer une partie du fincancement et proposer un projet culturel autour du projet.
A Amiens, le pôle se situera sur un terrain de 6,3 hectares dont 30000 m2 constructibles, « hors de zones à risques », à 2 heures de Paris par la route et à moins d’1 heure 30 par le train (avec une trentaine de liaisons quotidiennes) et à proximité du centre-ville d’Amiens et du Pôle de l’université de Picardie Jules-Verne. « Une grande qualité de la situation urbaine et de l’environnement immédiat », commente la BnF.
L’institution a également apprécié que la métropole propose une cellule d’accompagnement auprès des agents et de leurs familles pour les aider dans leur installation à Amiens à l’ouverture du site.
2028
« Le projet d’Amiens Métropole intègre également une proposition culturelle ambitieuse, s’articulant autour de la création d’un Centre d’Interprétation de la Presse, en lien avec le réseau des Bibliothèques d’Amiens Métropole, et de la promotion de la filière « Arts visuels », dans une approche transversale et originale de la valorisation de la presse écrite. Il permettra à la BnF de s’insérer dans un maillage culturel local et régional », loue l’institution.
Enfin, « la proposition financière d’Amiens Métropole et de ses partenaires s’est révélée être la meilleure parmi les candidatures reçues. Un accompagnement en ingénierie du projet est également proposé, avec une Maîtrise d’Ouvrage Déléguée assurée par le Conseil Régional des Hauts-de-France. »
Le pôle, qui devrait ouvrir ses portes à horizon 2028, permettra de désaturer les locaux actuels de la BnF, avec notamment « la création de magasins de collections hautement technologiques, indispensables à la préservation des documents les plus fragiles, et particulièrement à la collection de presse qui sera au cœur du projet. »
Le terrain devait permettre d’accueillir un bâtiment d’au moins 15000m2, avec dans l'idéal une réserve foncière supplémentaire, et être situé à 3 heures de Paris en voiture ou à 2 heures de transports depuis une gare parisienne. Le candidat devait également assurer une partie du fincancement et proposer un projet culturel autour du projet.
A Amiens, le pôle se situera sur un terrain de 6,3 hectares dont 30000 m2 constructibles, « hors de zones à risques », à 2 heures de Paris par la route et à moins d’1 heure 30 par le train (avec une trentaine de liaisons quotidiennes) et à proximité du centre-ville d’Amiens et du Pôle de l’université de Picardie Jules-Verne. « Une grande qualité de la situation urbaine et de l’environnement immédiat », commente la BnF.
L’institution a également apprécié que la métropole propose une cellule d’accompagnement auprès des agents et de leurs familles pour les aider dans leur installation à Amiens à l’ouverture du site.
2028
« Le projet d’Amiens Métropole intègre également une proposition culturelle ambitieuse, s’articulant autour de la création d’un Centre d’Interprétation de la Presse, en lien avec le réseau des Bibliothèques d’Amiens Métropole, et de la promotion de la filière « Arts visuels », dans une approche transversale et originale de la valorisation de la presse écrite. Il permettra à la BnF de s’insérer dans un maillage culturel local et régional », loue l’institution.
Enfin, « la proposition financière d’Amiens Métropole et de ses partenaires s’est révélée être la meilleure parmi les candidatures reçues. Un accompagnement en ingénierie du projet est également proposé, avec une Maîtrise d’Ouvrage Déléguée assurée par le Conseil Régional des Hauts-de-France. »
Le pôle, qui devrait ouvrir ses portes à horizon 2028, permettra de désaturer les locaux actuels de la BnF, avec notamment « la création de magasins de collections hautement technologiques, indispensables à la préservation des documents les plus fragiles, et particulièrement à la collection de presse qui sera au cœur du projet. »
