Dans La Cachette secrète, sèche-cheveux et peignes côtoient les aventures de Max et Lili (Calligram), d’Harry Potter (Gallimard Jeunesse) ou encore de Gregory Heffley, le héros de la série Journal d’un dégonflé de Jeff Kinney (Seuil jeunesse). Les traditionnels fauteuils de coiffure sont remplacés par des voitures.
Marion Vidal a ouvert les portes de son salon de coiffure et librairie jeunesse en janvier 2016 dans le centre-ville de Serris (Seine-et-Marne), loin des "grosses machines" du centre commercial du Val d’Europe. Bibliothécaire de profession, la trentenaire travaillait au sein de la section jeunesse de la Cité des Sciences et de l’Industrie (Paris 19e).
2000 titres en rayon
Après deux grossesses, elle a envie de fonder sa propre entreprise. "L’idée d’ouvrir une librairie jeunesse était évidente. Mais je voulais un lieu vivant et dynamique, et apporter quelque chose de plus [aux clients, ndlr]", confie Marion Vidal. Naît alors l’envie d’associer un salon de coiffure à sa librairie. "Pour un enfant, c’est très compliqué d’aller chez le coiffeur. Souvent, les salons ne sont pas adaptés pour eux", estime la libraire.
Des jeux et 2000 titres envahissent les étagères. L’objectif est simple: simplifier la vie des parents "en détournant l’attention des enfants" pendant leur coupe ou en les divertissant pendant que leurs parents se refont une beauté capillaire. L’ancienne bibliothécaire lit des histoires aux enfants pour les faire patienter.
Le livre: 40 % du chiffre d’affaires
Même si Marion Vidal admet que ses clients viennent d’abord pour le salon de coiffure, La Cachette secrète reste "une librairie à part entière". Depuis son ouverture, le livre draine 40% du chiffre d’affaires de l’établissement. "Une fois sur deux, le ticket comporte une coupe et un livre", assure la libraire.
Pour soulager Elodie, sa consœur coiffeuse, Marion Vidal vient de passer son CAP coiffure. Désormais "libraire-coiffeuse", elle jongle habilement entre livres et ciseaux.
Marion Vidal a ouvert les portes de son salon de coiffure et librairie jeunesse en janvier 2016 dans le centre-ville de Serris (Seine-et-Marne), loin des "grosses machines" du centre commercial du Val d’Europe. Bibliothécaire de profession, la trentenaire travaillait au sein de la section jeunesse de la Cité des Sciences et de l’Industrie (Paris 19e).
2000 titres en rayon
Après deux grossesses, elle a envie de fonder sa propre entreprise. "L’idée d’ouvrir une librairie jeunesse était évidente. Mais je voulais un lieu vivant et dynamique, et apporter quelque chose de plus [aux clients, ndlr]", confie Marion Vidal. Naît alors l’envie d’associer un salon de coiffure à sa librairie. "Pour un enfant, c’est très compliqué d’aller chez le coiffeur. Souvent, les salons ne sont pas adaptés pour eux", estime la libraire.
Des jeux et 2000 titres envahissent les étagères. L’objectif est simple: simplifier la vie des parents "en détournant l’attention des enfants" pendant leur coupe ou en les divertissant pendant que leurs parents se refont une beauté capillaire. L’ancienne bibliothécaire lit des histoires aux enfants pour les faire patienter.
Le livre: 40 % du chiffre d’affaires
Même si Marion Vidal admet que ses clients viennent d’abord pour le salon de coiffure, La Cachette secrète reste "une librairie à part entière". Depuis son ouverture, le livre draine 40% du chiffre d’affaires de l’établissement. "Une fois sur deux, le ticket comporte une coupe et un livre", assure la libraire.
Pour soulager Elodie, sa consœur coiffeuse, Marion Vidal vient de passer son CAP coiffure. Désormais "libraire-coiffeuse", elle jongle habilement entre livres et ciseaux.
